10 Idées pour un shooting photo famille
21/03/2023
Diplômée de l'école EFET, à Paris, Nora poursuit son chemin de photographe indépendant avec tout autant de plaisir et d'enthousiasme. Elle danse depuis l'âge de 5 ans et, par conséquent, s'intéresse particulièrement à la photographie de "Scène". Qu'il s'agisse de danse, théâtre ou musique... Approcher différents univers, faire des rencontres, voyager.. c'est ce qui lui plait le plus dans ce métier: un enrichissement continu de "l'Autre". Elle y apporte ensuite sa sensibilité pour capter ces moments, ces instants éphémères et les graver à jamais. Nora Houguenade est partenaire de LaShootingBOX.
EN GRAND ANGLE
Pourquoi êtes-vous devenue photographe ?
Car cʼest l'un des plus beaux métiers au monde à mon sens. Nous avons le pouvoir dʼimmortaliser le temps et lʼémotion tout en explorant des domaines différents. Aussi, on ne devient photographe que par passion. Certes, lʼavenir est incertain mais au moins, chaque jour est une nouvelle expérience.
Comment définiriez-vous votre travail en une phrase ?
La photographie me permet de capter le moment qui combine émotion, graphisme et regard tout en laissant place à ma sensibilité.
Pouvez-vous partager une anecdote qui vous a marquée en tant que photographe ?
Maroc - Lycée Français de Tanger - Mai 2012 : je devais faire un reportage sur les classes de 6ème. Les enfants étaient tellement impressionnés par lʼappareil quʼils en oubliaient dʼécouter le cours.
EN RAFALE
Plutôt studio ou extérieur ?
Extérieur
Plutôt Couleur ou N&B ?
Les deux: tout dépend du sujet.
Plutôt Photoshop ou lightroom ?
Photoshop
Plutôt Canon ou Nikon ?
Nikon
EN PLAN RAPPROCHE
Si vous deviez partager une habitude de travail inavouable ?
Peu importe lʼexpérience que je commence à acquérir, à chaque nouvelle prise de vue, à chaque nouvelle rencontre, je stresse comme si jʼallais passer le Bac. Puis au bout de 5mn, tout va pour le mieux !
Si vous deviez vous résumer en une devise ?
« Le verbe photographier se conjugue toujours à lʼimparfait de lʼobjectif ». Robert Doisneau.
Si vous ne deviez garder quʼune seule photo de votre travail, laquelle serait-elle ?
Question difficile... Je dirais une de mes première images, jʼavais à peine 17 ans, et je passais des vacances au Maroc, à Tanger. À cette époque, je voulais devenir pédiatre. Lʼinnocence dʼun regard non professionnel à travers mon premier appareil mʼa permis de faire une série de photos qui a fait lʼobjet de ma première exposition. Cʼest grâce à ces images que jʼai compris que je serai photographe.
Une particulièrement en tête: celle de deux enfants marocains qui se tiennent "bras dessus, bras dessous".
